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    Côte d'Ivoire - Agboville : Insolite ! Le corps d'un instituteur refuse d'aller au cimetière

     

    Huit (08) fois. C'est l'épreuve qu'ont endurés des porteurs qui tentaient de conduire le corps d'un jeune instituteur nommé Jean-Pierre N'Gbesso, au cimetière de son village natal d'Offoriguié, mais qui ont toujours rebroussé chemin.

     

    Agboville : Insolite !

     

    Ce fait insolite que relaie une dépêche de l'Agence ivoirienne de presse, s'est produit, le samedi 06 juillet 2013, à Offoriguié, village situé à 7 Km de son chef-lieu de département, Agboville. «Cinq fois, le samedi et trois fois le dimanche matin», a confié un instituteur venu accompagné son collègue à sa dernière demeure.

    Ajoutant que pour éviter toute suspicion, le corps a été porté soit par des collègues instituteurs, soit par les populations allochtones. Mais, à chaque fois, soutient la même source, le corps est revenu dans la concession familiale.

    Pis, le cercueil a volontairement heurté le père du défunt ainsi que plusieurs personnes du village, avant que les accusés, qui sont manifestement de la même confrérie de sorciers, ne passent à l'aveu. Le père de N'Gbesso, affirme toujours notre source, a avoué après de fortes pressions, avoir mis fin aux jours de son fils qui aurait acheté une tronçonneuse et un conteneur pour faire du commerce.

    Selon ce dernier (lui-même instituteur à la retraite), son fils N'Gbesso qui a eu son rappel, aurait dû plutôt lui remettre de l'argent que de faire des dépenses qu'il n'agrée pas. Pour le punir donc, il ne s'est pas empêché de le livrer à sa confrérie. Après ces aveux qui ont jeté l'émoi dans le village, un rituel dont la mise en œuvre requiert des talents spécifiques, a été fait ; permettant ainsi au corps de regagner le royaume des morts.

    A Offoriguié, l'on est plus que convaincu que «les morts ne sont pas sous la terre, ils sont dans l'arbre qui frémit, ils sont dans le bois qui gémit, ils sont dans l'eau qui coule (…) Ils sont dans la foule...», comme l'écrit si bien Birago Diop dans son ouvrage ''Le souffle des ancêtres''.

    G. DE GNAMIEN
    Source : L'Inter

     


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    Côte d'Ivoire - Insolite

     

    Le sexe d'un portier de maquis tendu depuis des jours

     

    Un cas tristement célèbre comme celui du pauvre « Tama Robert » se produit en ce moment même à Koumassi.

     

    Un portier de maquis, depuis des jours, ne débande pas. De fait, informé hier vendredi 24 mai 2013 de ce qu'un cas de priapisme avéré existerait au quartier « kankankoura » de Koumassi, nous nous déportons immédiatement sur les lieux.

    C'est dans une cour commune, dans les environs du lycée moderne. Dans une chambrette, couché sur un grand matelas, un jeune homme, visiblement étreint par la douleur, se fait souffler par un ventilateur qui semble ne pas atténuer sa souffrance. Il s'agit de S.N, atteint de priapisme. Il est recouvert au niveau de sa partie intime par un drap, sous lequel est dressé son sexe. Laissant tomber les scrupules, il nous permet, pour nous convaincre de ce qu'il vit, de voir son sexe tout tendu. Il nous explique ensuite son malheur.

    A l'en croire, tout commence le lundi 20 mai 2013. Ce jour-là, réveillé aux environs de 8h, il constate qu'il est en érection. Il n'y a pas de mal à cela. Cela arrive en général à cette heure-là, à la majorité des hommes. Les « vrais ». Mais, des heures passent et il ne débande pas. Pis, il a mal. Très mal.

    Cependant, S.N pense que tout cela va finir par passer. Erreur. Des jours s'écoulent et contrairement à ses espérances, la douleur continue de le tenailler. Cloué sur son lit, il ne peut plus mettre le nez hors de sa chambre. Le pauvre se garde dans un premier temps d'en parler à qui que ce soit. Mais la douleur devenant de plus en plus insupportable, avec ce sexe qui demeure inflexible, l'infortuné se voit alors contraint d'alerter ses proches.

    Un infirmier, saisi, soumet le jeune homme à des injections intra-veineuses. Rien n'y fit. On s'oriente alors du côté de la médecine traditionnelle. L'échec est patent. Le membre tendu, demeure « têtu ». On sollicite un marabout. Ce dernier qui soutient être capable de guérir le malade, exige cependant beaucoup d'argent pour l'achat de tous les « ingrédients » entrant dans la confection du « médicament-sauveur ». Mais ce fric, le portier ne l'a pas.

    Alors, sous nos yeux hier, ses amis qui s’apitoient sur son terrible sort, s'attelaient à lever des cotisations afin de satisfaire les recommandations du marabout. Mais pour des gagne-petit comme eux, réunir tout l'argent semble ne pas être à leur portée. Rajoutant ainsi, à la douleur du malheureux garçon. Mais qu'est ce qui peut bien expliquer ce qu'il vit ? A-t-il entretenu des relations sexuelles avec une femme mariée, mystiquement « bouclée » par son homme ? Comme on en voit souvent en Afrique. S.N répond avec peine, que depuis près de sept mois, sa satisfaction sexuelle, il ne l'obtient qu'avec une seule femme, qui dit être célibataire, mais dont il ne connaît toutefois pas le domicile.

    Concernant les aphrodisiaques, auxquels s'abonnent certains jeunes gens pour avoir de la « dynamite » dans les reins, mais qui des fois ont des conséquences fâcheuses, S.N soutient là encore, ne pas manger de ce pain. Alors, d'où vient le malheur de ce garçon fortement amaigri ? En attendant de le savoir, il supplie toutes les bonnes volontés étant dans les possibilités, de le sortir de cette situation qui, à la longue, peut conduire à son péril.

    Madeleine TANOU
    Soir Info

     


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    BAC 2013: Une candidate manque d'accoucher en plein examen

     

    BAC 2013

     

    Portant une grossesse de 9 mois, Fofana Amoin Mady, candidate au baccalauréat série A2 a failli accoucher en plein examen hier mardi 25 juin 2013 au lycée moderne de Koumassi. Les contractions ont commencé au moment où la jeune fille cogitait sur l'épreuve de philosophie. Pour ne pas perturber les autres candidats, la parturiente a été isolée par les responsables du centre qui n'ont pas manqué d'informer sa mère par téléphone. De toute évidence, cette candidate ne terminera pas les épreuves. Quant au bébé qui a choisi de naître pendant la composition de philosophie, il sera un grand philosophe. Akwaba le ou la petite Socrate !

     

     


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    Un vélib’ à Bamako

     

    Mais où est donc passé le vélib’ qui manque à la ville de Paris ? A Bamako, tout simplement…
     

    Comment va le vélib’ parisien ayant atterri de façon mystérieuse dans les rues de Bamako, au Mali ? Visiblement bien, comme le prouve cette photo qui tourne régulièrement sur les réseaux sociaux et qui vient de faire sa réapparition après plusieurs mois de silence, selon le quotidien en ligne Slate Afrique. Celle d’un jeune homme malien, sur la scelle d’un Vélib’ flambant neuf.

     

     

    Un vélib’ à Bamako

     

    Mais la question que se pose les internautes est : « Comment ce Vélib’ a-t-il pu atterrir au Mali » ? Bonne question, car pour le moment personne n’est encore parvenu à résoudre l’énigme.

    Une rumeur, sortie en 2007, selon laquelle un réseau de voleur de Vélib’s sévissait à Paris lors du lancement du vélo collectif parisien et acheminait jusqu’en Afrique, via avion-cargo, des centaines de vélos dérobés, comme en témoigne cet article du Figaro, reste l’unique explication apportée, bien que surréaliste.

    Un haut responsable de JCDecaux s’est d’ailleurs amusé à raconter lors d’un dîner mondain qu’il existait effectivement une filière de la sorte car « les Africains adorent le côté 4x4 du Vélib, si robuste qu’il permet de circuler même en brousse ». Voilà un homme bien loin de la réalité africaine.

    Cette rumeur avait été démentie par la multinationale JCDecaux qui avait affirmé que ce cadre a « sans doute voulu briller dans les dîners en ville et a raconté n’importe quoi ».

    Mais alors, comment ce vélib’ a-t-il atterri à Bamako ? Les enchères aux explications sont ouvertes…

     

     

     


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    Le chocolat qui ne fond pas, idéal pour l’Afrique

     

    Quelle est donc cette "saloperie" encore qui se cache dans le chocolat ???

     

     

    Le chocolat qui ne fond pas !

     

    Voilà une invention qui devrait ravir les papilles des Africains sans encombrements. Du chocolat qui ne fond pas.
     

    Fini la technique du chocolat planqué au réfrigérateur pour éviter qu’il ne fonde en période de grande chaleur. Après dix ans de recherches, le groupe Mondelez International a trouvé l’astuce pour manger du chocolat sans qu’il ne coule entre les doigts, et ce, même sous un soleil de plomb. Idéal pour l’Afrique !

    Ce nouveau produit, qui devrait donc résister à la chaleur, pourra être vendu en plein air, même sur les marchés d’Afrique ! Il « pourra supporter des températures de 40° » sans jamais devenir liquide, même « exposé au soleil », selon le président de Mondelez pour l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient et l’Afrique, rapporte francetvinfo.fr.

    Le géant alimentaire américain a annoncé jeudi la commercialisation prochaine de ce chocolat magique sans donner de date précise. Le produit est actuellement en cours de développement, « le brevet a été déposé l’an dernier ».

     

     

     


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